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Résume
Dans le sud de l’Algérie, la diversité végétale comprend certaines espèces connues pour une
utilisation limitée en médecine populaire, car elles ne sont pas endémiques à la région, telles
que le Gossypium du cotonnier, où l’attention se concentre sur ses brins et l’abandon d’autres
parties, comme les semences, les feuilles et les lotions comme déchets agricoles ou
industriels. Nous avons décidé de faire une valorisation de l’une de ces parties négligées qui
représente 46% de la fleur de la plante Gossypium Arboreum, à savoir les graines par une
étude phytochimique et activité biologique (activité antioxydante, antibactérienne).
On a fait une macération des grains de Gossypium Arboreum par solution éthanol-eau puis on
a réalisé une extraction par différent solvant (éther de pétrole, acétate d'éthyle, chloroforme,
n-butanol) en on a réalisé des tests physico-chimique pour identifier les compositions
bioactives. Les résultats montrent que les grains coton sont contenus des composés
secondaires tels que Phénols, flavonoïdes, alcaloïde.).
L’évaluation du pouvoir antioxydant des extraits avec la méthode du DPPH a été montre que
l'extrait acétate d'éthyle est doté d'une activité antioxydant importante, mais relativement
faible que celle d'acide ascorbique.et les autres extraits ont été révélés une faible efficacité
antioxydant.
En plus, L'étude de l'activité antibactérienne des extraits contre une souche bactérienne Gram
+ (Staphylococcus aureus), deux Gram – (Escherichia coli, Pseudomonas aeurginosa) et une
levure (Candida albicans; notre résultat montre que l'effet d'activité antibactérienne est varié
selon le type des bactéries.
Pour une meilleure valorisation des grains de coton par la fabrication de biodiésel à-partir de
l'extraction et estérification de leur huile; ces résultats obtenus a été comparé par des
caractéristiques mondiale. D'autre part, nous avons exploité les résidus d'extraction avec une
excellente utilisation des polluants colorés comme vert malachite |
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